dimanche 30 mai 2010

yannick noah - donne moi une vie


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Yannick Noah est un joueur de tennis et chanteur, français d'origine camerounaise par son père et ardennais par sa mère, né le 18 mai 1960 à Sedan dans les Ardennes en France.

Il remporte notamment les Internationaux de France de Roland-Garros en 1983. Au terme de sa carrière de joueur, il devient capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis qu'il mène à la victoire en 1991 et 1996. Depuis 2002, il mène une carrière de chanteur populaire, amorcée dès 1991 avec la chanson Saga Africa.

Source: Wikipedia

vendredi 28 mai 2010

Recettes de tourtes et de quiches

L'avantage des quiches et des tourtes, c'est qu'on peut varier à l'infini les saveurs et les recettes. La pâte feuilleté et un bon four font le reste ! Viande, légumes, herbe, fromage - hmm, ce Feuilleté au Roblochon ! -, les recettes de quiches et de tourtes ont l'allure de repas complets... Légère comme la Quiche tomate-basilic, ou plus consistante comme la Tourte lorraine ou le Grand friand chaud, la cuisine des quiches et des tourtes est aussi simple et rapide. Testez donc nos recettes !

La basique : quiche lorraine classique

INGRÉDIENTS

250 g de pâte brisée
250 g de poitrine fumée
3 oeufs
200 g de crème épaisse
1 càs d’huile
8 pincées de noix muscade râpée
sel, poivre

Recette

Allumez le four à 210°C (th. 7). Garnissez de pâte un moule à tarte de 24 cm de diamètre. Piquez-la de nombreux coups de fourchette. Coupez la poitrine en bâtonnets. Faites-les blanchir 1 mn dans de l’eau bouillante puis égouttez-les. Mettez l’huile à chauffer dans une poêle antiadhésive et ajoutez la poitrine. Faites-la rissoler quelques minutes sur feu modéré en remuant. Lorsque les lardons sont croustillants, égouttez-les avec une écumoire puis sur du papier absorbant. Cassez les oeufs dans une terrine et battez-les à la fourchette. Salez peu, poivrez abondamment et ajoutez la noix muscade. Incorporez la crème sans cesser de battre. Répartissez les lardons sur le fond de pâte et versez la préparation à la crème. Glissez au four et laissez cuire 35 mn environ, jusqu’à ce que la quiche soit dorée.
Servez chaud ou tiède.

D´autres recettes sur Elle

mardi 25 mai 2010

Conheça os vencedores dos prêmios do 63º Festival de Cannes

Terminou hoje a 63ª edição do Festival de Cinema e Cannes. O filme "Lung Boonmee Raluek Chat", do diretor tailandês Apichatpong Weerasethakul, foi o grande vencedor da Palma de Ouro.

O filme trata de uma fábula budista que conta a história de um homem que decide passar seus últimos dias na selva, onde aparece para ele o fantasma da esposa morta e do filho desaparecido, este transformado em animal.

O diretor Weerasethakul já foi premiado em Cannes por "Tropical Malady", em 2001.

Uma das surpresas da premiação foi a divisão de prêmio de atuação entre Javier Bardem, pelo filme "Biutiful", e o italiano Elio Germano, de "La Nostra Vita".

Conheça os vencedores dos prêmios abaixo.

Palma de Ouro
"Lung Boonmee Raluek Chat", de Apichatpong Weerasethakul

Ator
Javier Bardem - "Biutiful"
Elio Germano - "La Nostra Vita"

Atriz
Juliette Binoche - "Copie Conforme"

Direção
Mathieu Amalric - "Tournée"

Roteiro
Lee Chang-Dong - "Poetry"

Curta-metragem
"Un Chienne d'Histoire", de Serge Avedikian

Camera d'Or
"Año Bisiesto"

Prêmio do júri
"Un Homme qui Crie", de Mahamat-Saleh Haroun

Grande Prêmio
"Des Hommes et des Dieux", de Xavier Beauvois

Fonte: Folha de São Paulo

lundi 24 mai 2010


par Melou

Hier soir était diffusé aux Etats-Unis le dernier épisode de Lost. Ce moment de télévision mérite bien un bilan en forme d’oraison funèbre, seul à même de saluer comme il se doit la fin d’une grande série, et d’une obsession. Si l’on suit le déroulement classique d’une oraison funèbre, il s’agit d’abord d’exposer les faits, tâche peu aisée. Quel fan de Lost n’a pas subi le regard mi-interrogateur mi-moqueur de son interlocuteur lorsque, passionné, il tentait en vain d’en expliquer l’intrigue ? Le résumé qu’en fait Hurley à sa mère, dans la saison 5, constitue d’ailleurs un exemple hilarant.

Essayons. Tout commence comme un bon show du dimanche soir : une île déserte habitée, des rescapés au physique avantageux, un monstre faiseur de pluie, tueur de pilotes, et broyeur de palmiers. Puis, l’intrigue s’épaissit : les rescapés découvrent des trappes dans la jungle et un bouton à pousser pour éviter l’apocalypse. Evidemment, ils sont attaqués par des méchants – depuis l’intérieur de l’île et depuis la côte. La suite frôle l’irracontable: une poignée de rescapés parvient à quitter l’île qui disparaît sous leurs yeux parce que quelqu’un l’a déplacée en tournant une roue gelée.

Trois ans plus tard, ils reviennent ; ils voyagent dans le passé ; ils tentent de changer l’avenir ; ils se retrouvent dans le présent. Ils découvrent qu’ils ont été amenés sur l’île en tant que candidats à la succession de son protecteur, le gardien du monstre. Le monstre veut quitter l’île: il tue le protecteur et tente d’exterminer tous les rescapés. Mais, dirons ceux que la mythologie intéresse moins que les personnages, dans Lost, l’intrigue n’est pas tout ! Et toute bonne oraison funèbre nécessite en effet une “peinture des caractères”.

Si j’avais à prononcer un discours, je rendrais un bref mais juste hommage aux nombreux personnages secondaires, vite sacrifiés et entrés dans le mythe, tel Frogurt et le docteur Artz. Je chanterais surtout les louanges de Jack, le vrai héros à l’évolution admirable, le boy-scout insupportable au sac à dos vissé sur le dos, l’homme de raison qui a appris à croire.

Je pleurerais ensuite le destin de John Locke, l’homme de foi désespéré, victime d’un destin duquel il attendait trop, devenu après sa mort le monstre lui-même. Je rappellerais l’intelligence machiavélique de Ben, les émotions provoquées par le torse nu de Sawyer, le caractère à la fois charmant et horripilant de Kate, le burlesque sympathique d’Hugo, les questionnements autour de la location de Bernard et Rose, la truffe de Vincent, et la transformation physique mémorable de Claire.

J’essaierais de trouver les mots justes pour saluer la prestance de Desmond, brotha. Enfin, dans un final pathétique, je rappellerais la longue liste des morts en héros, de Charlie à Eko, de Sayid à Boone, de Juliet à Sun et Jin.

Pour faire passer le tout, insérer dans ce discours quelques citations cultes pourrait s’avérer utile. “Not Penny’s Boat” sera aussi difficile à placer qu’indispensable. “Live Together, Die Alone” enflammera les passions patriotiques de la foule. “WALTTTTTTTT” et “CLAIREEEEEEE” détendront l’atmosphère. “Don’t mistake fate for coincidence” et “We have to go back” serviront de catharsis à un public sensible au tragique. Enfin, “Don’t tell me what I can’t do” arrachera quelques larmes.

Au titre des accomplissements – passage obligé de l’oraison funèbre, on rappellera combien les thématiques de Lost étaient grandioses: libre-arbitre et déterminisme, Bien et Mal, raison et foi… Les flashbacks, flashforwards et flashsideways en permettaient un traitement habile. Aucune frontière ne semblait établie, les diables devenaient des saints – et vice-versa, les manipulateurs de destin offraient un choix ultime, les limites du manichéisme étaient sans cesse repoussées. A la veille du finale, les frontières se précisent, mais il est encore possible d’espérer que Lost ne se transformera pas en une croisade d’hommes libres contre le Mal.

Mais, chut ! Ni la critique, ni le doute ne sont autorisés dans une oraison funèbre: il s’agit d’atténuer les fautes et d’accentuer les mérites. Pas de mention de Nikki et Paolo, donc, ni des lourdeurs des saisons 2 et 3, ni de la légèreté de certains dialogues, et surtout pas de la facilité de certains dénouements. Il faudra simplement saluer l’inventivité et le talent de deux producteurs géniaux – Damon Lindelof et Carlton Cuse – qui ont mené d’une main de maître le déroulement de la série et orchestré sa présence continue sur la scène médiatique, ne nous laissant aucun répit.

Et enfin, toute bonne oraison funèbre requiert un style, à la manière d’un Bossuet déclamant “Ô vanité ! ô néant ! ô mortels ignorants de leurs destinées !” Ou alors à la façon des discours d’obsèques prononcés par Jay Landsman dans The Wire. Et finalement, c’est probablement ça que mérite Lost. Six coffrets DVD sur une table de billard, de la bière Dharma, une bande d’idiots échauffés et malgré tout passionnés reprenant en cœur You All Everybody, et un beau discours. “Lost était probablement la série la plus énervante, la plus obsédante, la plus inutile, la moins concluante, mais, bordel, qu’est-ce que c’était bien”.

Le Monde

dimanche 23 mai 2010

Dica de leitura da Dani


LE PASSAGER


Étienne Séguin é um professor de literatura que passa por um momento difícil: o final de seu casamento. Ele tem pesadelos regularmente e acorda no meio da noite pensando em sua ex-mulher e em sua solidão, enfatizada pelo tamanho do apartamento em Montréal, ainda maior quando visto por seus olhos.


Nascido em Drummondville, é lá que decide também recomeçar sua vida profissional, aceitando um convite para ensinar literatura fantástica no Cégep local. Para chegar ao trabalho, é necessário que ele passe algumas horas por semana na autoroute e, em uma dessas viagens, Étienne vê no acostamento um jovem pedindo carona. Ele tem vontade de parar, mas pensa em tudo que seus pais ensinaram na infância (cujas lembranças são a partir dos 09 anos de idade, já que uma pancada na cabeça causou uma amnésia e o consequente esquecimento de tudo que vem antes disso) e acaba passando reto pelo desconhecido.


A curiosidade, no entanto, acaba sendo mais forte que as recomendações de seus pais super protetores e ele oferece carona ao jovem. A partir daí, suas viagens passam a ser sempre na companhia deste desconhecido chamado Alex que, na verdade, parece conhecê-lo há mito tempo. Até suas aulas são influenciadas pelos diálogos que mantém com Alex e, em um dado momento, algumas lembranças de sua infância surgem em seus pesadelos, deixando de lado a solidão e preenchendo o espaço com as tentativas de descobrir quais memórias estão escondidas em seu cérebro.


Le Passager é um romance policial de Patrick Sénécal, intrigante e de fácil leitura, com detalhes que acabam se encontrando no final da história e encaixando cada peça em seu lugar! Vale a pena pela prática do français québécois e pela qualidade da história!

No Quebecoando...

vendredi 21 mai 2010

Jovens de morro carioca atravessam tapete vermelho de Cannes

ANA PAULA SOUSA
enviada especial a Cannes

Atores e diretores do projeto "5 Vezes Favela: Agora por Nós Mesmos", produzido pelo cineasta Cacá Diegues, fizeram, na tarde desta segunda-feira (17), a subida da escadaria de Cannes --o famoso tapete vermelho-- trajando ternos e vestidos pretos.

O filme, feito por jovens moradores das favelas do Rio de Janeiro, será exibido amanhã em Cannes, em sessão especial, às 5 da tarde.

Mas a pose para as fotos "com glamour" aconteceu hoje, sem filme na tela.

O grupo, que chegou hoje mesmo do Brasil, viverá seu primeiro dia de "star" internacional amanhã.

Folha de São Paulo

jeudi 20 mai 2010

Filmes que já receberam a Palma de Ouro do Festival de Cannes

da France Presse, em Cannes

Segue a lista dos filmes premiados com a Palma de Ouro (em francês, Palme d'Or) máximo prêmio do Festival de Cinema de Cannes.

2009: "A Fita Branca", de Michael Haneke (Áustria)

2008: "Entre os Muros da Escola", de Lauren Cantet (França)

2007: "4 Meses, 3 Semanas e 2 Dias", de Cristian Mungiu (Romênia)

2006: "Ventos da Liberdade", de Ken Loach (Irlanda)

2005: "A Criança", de Luc e Jean-Pierre Dardenne (Bélgica)

2004: "Fahrenheit 11 de Setembro", de Michael Moore (Estados Unidos)

2003: "Elefante", de Gus Van Sant (Estados Unidos)

2002: "O Pianista", de Roman Polanski (Polônia)

2001: "O Quarto do Filho", de Nanni Moretti (Itália)

2000: "Dançando no Escuro", de Lars von Trier (Dinamarca)

1999: "Rosetta", de Luc e Jean-Pierre Dardenne (Bélgica)

1998: "A Eternidade e um Dia", de Theo Angelopoulos (Grécia)

1997: "Sabor de Cereja", de Abbas Kiarostami (Irã), e "A Enguia", de Shohei Imamura (Japão)

1996: "Segredos e Mentiras", de Mike Leigh (Reino Unido)

1995: "Underground - Mentiras de Guerra", de Emir Kusturica (Iugoslávia)

1994: "Pulp Fiction", de Quentin Tarantino (Estados Unidos)

1993: "O Piano", de Jane Campion (Austrália), e "Adeus Minha Concubina" de Chen Kaige (China)

1992: "As Melhores Intenções", de Bille August (Dinamarca)

1991: "Barton Fink", de Joel e Ethan Coen (Estados Unidos)

1990: "Coração Selvagem", de David Lynch (Estados Unidos)

1989: "Sexo, Mentiras e Videotape", de Steven Soderbergh (Estados Unidos)

1988: "Pelle, o Conquistador", de Bille August (Dinamarca)

1987: "Sob o Sol de Satã", de Maurice Pialat (França)

1986: "A Missão", de Roland Joffé (Reino Unido)

1985: "Quando Papai Saiu em Viagem de Negócios", de Emir Kusturica (Iugoslávia)

1984: "Paris, Texas", de Wim Wenders (Alemanha Ocidental)

1983: "A Balada de Narayama", de Shohei Imamura (Japão)

1982: "Missing, Desaparecido", de Costa-Gavras (Estados Unidos), e "Yol", de Yilmaz Güney (Turquia)

1981: "O Homem de Ferro", de Andrzej Wajda (Polônia)

1980: "All That Jazz - O Show Deve Continuar", de Bob Fosse (Estados Unidos), e "Kagemusha, A Sombra do Samurai", de Akira Kurosawa (Japão)

1979: "Apocalypse Now", de Francis Ford Coppola (Estados Unidos) e "O Tambor", de Volker Schlöndorff (Alemanha Ocidental)

1978: "A Árvore dos Tamancos", de Ermanno Olmi (Itália)

1977: "Pai Patrão", de Paolo Taviani e Vittorio Taviani (Itália)

1976: "Taxi Driver", de Martin Scorsese (Estados Unidos)

1975: "Crônica dos Anos de Fogo", de Mohammed Lakhdar-Hamina (Argélia)

Não houve entrega da Palma de Ouro no período de 1964 a 1974

1963: "O Leopardo", de Luchino Visconti (Itália)

1962: "O Pagador de Promessas", de Anselmo Duarte (Brasil)

1961: "Uma Tão Longa Ausência", de Henri Colpi (França) e "Viridiana", de Luis Buñuel (Espanha)

1960: "A Doce Vida", de Federico Fellini (Itália)

1959: "Orfeu Negro", de Marcel Camus (França)

1958: "Quando Voam as Cegonhas", de Mikheil Kalatozishvili (União Soviética)

1957: "Sublime Tentação", de William Wyler (Estados Unidos)

1956: "O Mundo do Silêncio", de Jacques-Yves Cousteau e Louis Malle (França)

1955: "Marty"

mercredi 19 mai 2010

Censura no Irã faz Juliette Binoche chorar em Cannes

ANA PAULA SOUSA
da enviada especial à Cannes

A atriz francesa Juliette Binoche, protagonista do filme "Copie Conforme", de Abbas Kiarostami, emocionou-se durante a entrevista coletiva concedida hoje de manhã.

Ao ouvir o relato de uma jornalista sobre a difícil situação dos artistas no Ira, Binoche ficou com os olhos cheios d'água.

A senhora responsável pela organização das mesas, rapidamente, aproximou-se da atriz com lenços de papel.






A prisão do cineasta Jafar Panahi foi o principal assunto da conversa de Kiarostami com a imprensa mundial.

O diretor, antes mesmo de ouvir qualquer pergunta, disse que tinha acabado de receber uma mensagem da mulher de Panahi e que esperava que ela tivesse boas notícias para dar.

"Espero que seja uma boa novidade. Quem sabe ele não é solto ainda hoje", disse.

Kiarostami, que falou em iraniano, com a intermediação de uma tradutora francesa, lamentou o fato de, em seu país, todos os artistas viverem sob pressão.

"Se o Panahi se tornou clandestino não foi por culpa dele, mas sim das autoridades iranianas."

Poème

Jacques Prévert
Le message

La porte que quelqu'un a ouverte
La porte que quelqu'un a refermée
La chaise où quelqu'un s'est assis
Le chat que quelqu'un a caressé
Le fruit que quelqu'un a mordu
La lettre que quelqu'un a lue
La chaise que quelqu'un a renversée
La porte que quelqu'un a ouverte
La route où quelqu'un court encore
Le bois que quelqu'un traverse
La rivière où quelqu'un se jette
L'hôpital où quelqu'un est mort.

samedi 15 mai 2010

Sophie Marceau : sa carrière en 10 films


Sophie Marceau est une actrice incontournable dans le paysage du cinéma hexagonal. Films générationnels, cultes ou d’auteur, l’actrice a une carrière bien remplie que l’on vous propose de parcourir à travers 10 films clés.

jeudi 13 mai 2010

Leonardo DiCaprio : « J’ai toujours voulu être un acteur. »

La première pensée en le voyant débarquer à New York, policé, élégant, avec un mélange de détermination et de pureté dans son regard étincelant, c’est qu’il n’est plus un gamin. Le fait d’avoir vu grandir à l’écran Leonardo DiCaprio, le fait que son visage possède toujours la magie de l’enfance et que sa voix soit volontiers rieuse, provoque ce genre de réaction. Mais le petit prince de « Titanic » est bel et bien devenu adulte : à 35 ans, le voici transformé dans son costume Armani, col de chemise ouvert et cheveux ramenés en arrière. Leonardo DiCaprio est grand avec des épaules larges, et il vous appelle « Sweetie » parce qu’il vous a reconnue. Bonheur ! Il enchaîne avec une bise spontanée ! Bonheur… « Shutter Island » (qui sort ce 24 février), est son quatrième film avec Martin Scorsese. Leonardo DiCaprio y joue un flic traumatisé par la Seconde Guerre mondiale, enquêtant dans un asile de fous… Leo, lui, a toute sa tête et nous parle en toute simplicité – il se passe de l’armada habituelle des attachées de presse – de son mentor Marty, de ses choix, de ses rêves, et de son rôle de Viking pour Mel Gibson !

Prestigium. Shutter Island est votre quatrième film avec Martin Scorsese. Est-ce encore un rêve éveillé pour vous ?
Leonardo DiCaprio. Oui ! J’ai toujours voulu être un acteur. À 6 ans, j’étais déjà devant des caméras, le cinéma est toute ma vie, et mes rêves ont toujours inclus le monde de Scorsese. Ado, j’avais même acheté les gants de « Raging Bull » dans une vente aux enchères… Aujourd’hui, je fais partie de son univers, j’aide à produire ses films, lui que l’on regardera dans cent ans comme l’un des plus grands génies artistiques… C’est inouï ! J’ai eu une chance vertigineuse dans la vie, qui a commencé lorsque Robert De Niro a aimé mon audition pour « Blessures secrètes », et quand j’ai donné la réplique à la plus grande actrice du monde, Meryl Streep (dans « Marvin’s Room »).

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mardi 11 mai 2010

Le chat, son maître et ses deux maîtresses


Junichiro Tanizaki

Folio, Gallimard, 1994.
A linda gata se chama Lily e, nas primeiras linhas, nós, leitores, já estamos tão apaixonados por ela, quanto Shozo, seu dono. Lily é usada por todos os personagens desta história, ela é o pivô, o bode expiatório e também serve como refém quando das confusões de um triângulo amoroso. Shozo é um tipo meio acovardado e comodista que, apesar desta sua personalidade, faz muito sucesso entre as mulheres. Quando sua mãe, seu tio e uma prima preguiçosa, maquiavélica e endinheirada envenenam suas relações com sua mulher, ele aceita o plano, termina o casamento e casa-se com a prima, Fukuko. Antes de viver com ele, Fukuko fingia aceitar bem Lily, sabia que precisava passar pela gata para conquistar Shozo. O livro se inicia com uma carta de Shinako, a primeira mulher de Shozo, enderaçada a Fukuko. Nesta carta, muito bem pensada, Shinako pede à outra que agora ocupa o seu lugar, que interceda junto a Shozo para que ele aceite lhe enviar a gata, condição que ela já havia estabelecido para partir sem problemas. Na verdade Shinako não gostava de Lily, a gata a irritava quando se interpunha entre ela e o, então, marido, o que ela pretende agora é utilizá-la para, por sua vez, envenenar a nova relação. Faz isso muito bem, desde o momento em que lê a carta, a nova esposa já fica com a pulga atrás da orelha, inicialmente não sabe o que decidir, pesa todas as possibilidades. Finalmente fala com o marido e insiste até que ele, muito contrariado, aceita enviar Lily a Shinako. Como esta havia previsto, logo Shozo, não podendo mais agüentar as saudades da Gata, começa a rodear sua casa. Tudo como previsto, o que Shinako não esperava, entretanto, é que ela também terminasse encantada com Lily ao observá-la longe dos paparicos de Shozo e ao dar uma oportunidade ao animal. É uma das histórias mais bonitas que já li tendo um animal como um dos personagens, e muito engraçada também. Faz parte ainda deste livro três outras histórias: Le petit royaume, Le professeur Radô et Le professeur Radô revisité.

Le petit royaume é a história de um pobre professor, Shokichi Kaijima. Acreditando que podia ser um meio de aliviar a dureza da sua vida, Kaijima decide trocar Tóquio, cidade onde nasceu, por uma pequena cidade. Um dia o profesor recebe um novo aluno em sua turma, Numakura, garoto estranho que exerce, aparentemente sem esforço, um absoluto controle sobre seus colegas. Numakura vai aumentando o seu poder, criando o seu pequeno reino, no final, nem mesmo o mestre escapa.



Le professeur Radô é a história de um importante professor universitário que está sendo entrevistado por um jornalista. Desesperado, este só recebe monossílabos como resposta. Por mais que tente, que tenha se preparado, o jornalista não consegue arrancar dele uma frase completa, ao sair, morto de curiosidade e raiva, sobe numa janela e vê o famoso intelectual sendo chicoteado por uma menina de mais ou menos dezesseis anos. Nesse instante o jornalista percebe, enfim, um sinal de vida nos olhos do homem.
Em Le professeur Radô revisité, Tanizaki retoma a história do intelectual. O jornalista o reencontra, por acaso, em um espetáculo de segunda categoria e faz questão de mostrar ao professor que ele tinha sido reconhecido. O professor, a princípio constrangido, dá trela ao jornalista ao perceber que este poderia ajudá-lo a contatar uma das lindas atrizes do espetáculo. Esta bela atriz, ele já tinha observado, nunca falava em cena e nunca mostrava o pé o que só fazia aumentar a curiosidade do professor a seu respeito.



Junichiro Tanizaki nasceu em Tóquio, no dia 24 de julho de 1886. Publicou em 1910 Le Tatouage obra que foi imediatamente reconhecida pela crítica. Após o terremoto de 1923, Tanizaki mudou-se para Kyoto. Morreu no dia 30 de junho de 1965.



Não conheço tradução desta obra de Tanizaki para o português.


Imagens: Capa da edição francesa 'de bolso' de Le chat, son maître et ses deux maîtresses, capas originais de obras de Tanizaki.
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Disponível na nossa biblioteca.

samedi 8 mai 2010

Chico Buaque - Joana Francesa - Jeanne Moreau


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Joana Francesa

Chico Buarque

Composição: Chico Buarque

Tu ris, tu mens trop
Tu pleures, tu meurs trop
Tu as le tropique
Dans le sang et sur la peau
Geme de loucura e de torpor
Já é madrugada
Acorda, acorda, acorda, acorda, acorda

Mata-me de rir
Fala-me de amor
Songes et mensonges
Sei de longe e sei de cor
Geme de prazer e de pavor
Já é madrugada
Acorda, acorda, acorda, acorda, acorda

Vem molhar meu colo
Vou te consolar
Vem, mulato mole
Dançar dans mes bras
Vem, moleque me dizer
Onde é que está
Ton soleil, ta braise

Quem me enfeitiçou
O mar, marée, bateau
Tu as le parfum
De la cachaça e de suor
Geme de preguiça e de calor
Já é madrugada
Acorda, acorda, acorda, acorda, acorda

vendredi 7 mai 2010

Bain linguistique





Bain Linguistique à Canela - Avril 2010
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D´autres photos ici et ici

jeudi 6 mai 2010

dimanche 2 mai 2010

samedi 1 mai 2010

Les origines du muguet du 1 er mai


Le muguet est originaire d'Asie, du japon plus précisément. Cette plante est connue et acclimatée en France depuis le moyen- âge. Le muguet a longtemps été le symbole du renouveau et du printemps, il était donc logique qu'il devienne symbole du bonheur et porte-bonheur. Le 1er mai 1561 Charles IX instaura la tradition d'offrir du muguet le 1er mai en guise de porte bonheur.

Ce n'est que vers 1907, puis en 1936 que le muguet est associé à la fête du travail.La date du 1er mai comme jour de la fête des travailleurs et des travailleurs fut adoptée en 1889, au congrès de la fondation de la IIe Internationale à Paris. Cette date fut choisie en mémoire des morts de la manifestation du 1er mai 1886 à Chicago qui demandait l'instauration de la journée de 8 heures.
A Paris lors d'une manifestation en 1890, les manifestants défilèrent en portant à la boutonnière un triangle rouge symbolisant leurs revendications, à savoir la division idéale de la journée en 3 huit : travail - sommeil - loisirs. Ce triangle fut remplacé par la fleur d'églantine puis par le muguet cravaté de rouge. C'est depuis ce jour que fête du travail et muguet furent associés. Ce n'est qu'en 1936 que l'on retrouve les premières ventes de muguet à l'occasion du premier mai. La chanson "il est revenu le temps du muguet ..." est elle aussi associée à ce jour.
Mieux connaître le muguet une plante si belle et si toxique ! Le muguet est aussi appelé le lis des vallées ou le lis de mai. Son nom savant est : convallaria majalis. Le muguet est une plante vivace herbacée haute de 10 à 30 cm de haut. Elle se caractérise par ses deux feuilles entourant la tige unique.
A l'état sauvage la floraison à lieu d'avril à juin selon les conditions météorologiques et les régions. Les fleurs très odorantes sont blanches en forme de clochettes et portées toutes du même côté. De juillet à octobre, elles sont remplacées par des baies rouges contenant 2 à 6 graines chacune.
C'est une plante, vivace, qui se multiplie par son rhizome. Le muguet aime la fraîcheur des sous-bois, mais il peut être très capricieux, lorsqu'il se plaît à un endroit il peut devenir vite envahissant, alors qu'il est parfois impossible de le faire pousser dans des lieux présentant toutes les conditions idéales.
Le muguet est une plante toxique au même titre que la digitale, comme elle, il est utilisé pour soigner certaines maladies du coeur. Toute la plante est toxique ainsi que l'eau des fleurs. Bien que la plupart des intoxications soient bénignes, certaines peuvent être graves. Les baies moins contenant une plus faible concentration de cardiotonique sont parfois utilisées en cuisines mais en très faible quantité.