Pour tout étranger établi au Québec, l’étonnement est annuel. La Fête nationale du Québec, le 24 juin, est un événement majeur.
La Fête du Canada, le premier juillet, est largement ignorée. Comment a-t-on pu en arriver à cette situation, impensable dans toute nation normalement constituée (je pèse mes mots) ?
C’est qu’il y a un vice de conception. Le premier juillet 1867, date de fondation du pays, aucune manifestation populaire ne fut tenue où que ce soit au Québec. Seulement quelques messes — car le haut clergé était très favorable à la confédération, se sachant maître des compétences léguées à la nouvelle province, notamment l’éducation, outil de son autoperpétuation.
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